Babysitters dominatrices

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il y a 8 ans

Je m'appelle Chris, j'ai trente ans et je suis célibataire. Il y a plusieurs mois, j’ai engagé Valérie une femme de ménage âgée de vingt-huit ans. Elle vient deux fois par semaine, le mardi et le vendredi. Elle s'occupe du ménage et quelques fois du repassage.

Ce jour là Valérie est dans l'appartement de Chris et fait le ménage, alors que ce dernier est à son travail. Elle passe l’aspirateur. Lorsque soudain son portable vibre dans sa poche. Elle coupe l’aspirateur, regarde qui l'appelle et répond.

  • Salut Agnès, s'exclame Valérie.

  • Salut Valérie, tu vas bien ?

  • Oui ça va, mais il fait chaud et j’en ai marre de faire le ménage.

  • Tu as bientôt fini ?

  • Oui, Agnès j’ai même une heure trente d’avance sur l’horaire.

  • Mais c'est génial ça ! Je suis au café pas loin de chez ton patron, tu viens me rejoindre ?

  • Non merci Agnès c'est gentil de m'inviter. Peut-être une autre fois. je vais profiter de son absence pour ranger des trucs en plus, comme ça Chris sera content. Mais si tu veux rejoins- moi, nous boirons un pot sur la terrasse et nous pourrons discuter pendant que je travaille.

  • D'accord, j’arrive !

Valérie reprend son travail. Elle range l’aspirateur et se demande ce qu’elle pourrait bien faire. Tiens, se dit-elle, et si je m'occupais de la salle de bain, qui doit en avoir bien besoin. Valérie entre dans la salle de bain et commence à nettoyer la baignoire.

Elle vient à peine de commencer quand on sonne à la porte. Valérie dépose son éponge et se dirige vers la porte.

  • Salut Agnès, tu as fait vite. Mais entre !

  • Merci Valérie, tu sais j’étais tout prêt. Alors elle est où cette terrasse ?

  • Viens, suit moi. Agnès emboîte le pas de son amie, traverse l'appartement de Chris et se retrouve sur la terrasse du patron de Valérie.

=== Chapitre 2 ===

Un verre à la main, les deux amies sont installées sur la terrasse. Quand soudain Agnès sourit, de la réalisation de l'idée qui lui vient de lui traverser l'esprit.

  • Cela ne te dérange pas de faire le ménage d’un mec que tu ne connais même pas ? Je sais que ton boulot a l’avantage de te donner l’opportunité de connaître l’intimité de tes clients. Je suis sûre que tu as des anecdotes à me raconter.

  • Tu sais, Agnès, Chris est mon seul client.

  • Je suis certaine que tu en connais un peu plus sur lui que ce que tu veux me faire croire. Allez, Valérie, avoue, je suis sûre que tu as déjà fouillé dans ses petites affaires.

  • Non, ça jamais ! Je me contente de passer l’aspirateur, laver le sol, et prendre les poussières. Il ne veut pas que je touche à autre chose.

  • Vraiment ! Hé bien si nous en profitions pour découvrir la véritable personnalité de ton patron ?

  • Arrête de délirer Agnès. Si on fouille il pourrait s’en rendre compte et je... - Taratata, il ne verra rien. Aller on commence par sa chambre, c’est un bon endroit pour se faire une idée de l’intimité de ton Chris.

Elles se dirigent toute les deux vers la chambre de Chris. Agnès ouvre les placards, fouille les tiroirs, et sort des sous-vêtements d'un des tiroirs.

  • Wow ! Tu as vu les slips qu'il porte, dit Agnès en tenant un exemplaire entre ses mains. Au moins, il ne porte pas des slips kangourou.

  • Tu sais, mon patron c'est pas un ringard, réplique Valérie gênée du sans-gêne de son amie.

  • Par contre, ajoute Agnès en riant, il a beaucoup de caleçons ou des slips décorés de motifs enfantins, c'est à croire qu'il aime ce style, dit-elle en montrant à Valérie un caleçon décoré de petits oursons. Trouvons ses pyjamas, s'il en a. C'est très révélateur les pyjamas

Elles fouillent en commentant leurs trouvailles, mais ne trouvent pas un seul pyjama.

  • A mon avis il doit dormir tout nu ou en slip, conclut Valérie avec une pointe de regret.

  • Oui peut être.

Attends ! Regarde ce que j'ai trouvé, dit Agnès en tenant un vêtement plié et assez épais, décoré de petits oursons dessinés.

Elle le déplie... Mais c'est une grenouillère ! S’exclame-t-elle ahurie de sa découverte.

  • Mais qu'est-ce que tu racontes là ? Dit Valérie en attrapant un bout de la grenouillère. Ma foi, tu as raison. Je ne savais pas que cela existait en taille adulte.

  • Hé oui ma belle ça existe ! Et tu sais comment cela ce mets ?

  • Oui bien sûr ! Comme les pyjamas de bébé.

  • Alors montre moi, essaye là !

Valérie enlève son haut puis sa jupe et apparaît dans une jolie petite culotte blanche, de satin et de dentelle, avec soutien gorges assorti. Agnès tourne autour de Valérie en la regardant. Puis elle s'approche de Valérie dans son dos.

  • Ben dit donc ma jolie, tu ne te refuses rien toi ! Je constate avec plaisir que tu es toujours aussi jolie et que tu dépenses toujours ton argent dans la lingerie. Elle accompagne ses mots d'une caresse sur les fesses de Valérie. Puis elle se colle contre le dos de son amie, glisse ses mains sous ses bras et empaume fermement de ses deux mains la poitrine de Valérie. Cette dernière jette sa tête en arrière. Agnès l'embrasse dans le cou tout en continuant à lui caresser les seins d'une main. Tout en laissant l'autre glisser doucement entre les cuisses offertes qui n'attendent que ce moment. Agnès caresse avec insistance le sexe de Valérie à travers sa petite culotte. Cette dernière se met à gémir, se redresse et s'échappe de cette étreinte.

  • Arrête Agnès, si Chris rentrait il me lourderait séance tenante, dit-elle en enfilant la grenouillère. Si je me rappelle, la fermeture éclair est dans le dos.

  • Tu crois ?

  • J'en suis certaine.

  • Mais comment fait-il pour fermer la fermeture éclair tout seul ?

  • Regarde Agnès, il a attaché un long morceau de tissus sur le Zip. De cette façon, il peut fermer et ouvrir à volonté.

Valérie fait une démonstration à Agnès en se dandinant sur elle-même.

  • Ah oui, en effet tu as raison. Tient comme c'est drôle, il y a même un rabat aux fesses avec des boutons, dit Agnès en pointant du doigt les fesses de Valérie et en le regardant avec malice.

  • Tu crois que c'est juste pour montrer ses fesses que ton Chris porte cela ? Ou est-il du genre à apprécier de se faire enculer sans avoir besoin de se déshabiller ?

  • Mais arrête donc de dire des bêtises, Agnès. Il y a toujours un rabat aux fesses sur les grenouillères, c'est plus pratique pour changer les couches des bébés sans avoir besoins de tout enlever.

  • Je suis d'accord avec toi, mais ton Chris à passer l'âge de porter des couches. Par contre toi tu devrais en porter, affirme Agnès en pointant du doigt la culotte de Valérie, mouillée d'excitation.

  • Oh comme c'est malin, j'te jure !

  • Mais j'y pense ! Je parie que ton Chris a des couches bien cachées. D'après ses slips genre Petit Bateau et sa grenouillère, je le soupçonne même d'être un grand bébé.

=== Chapitre 3 ===

Chris glisse sa clé dans la serrure et rentre chez lui. Valérie et Agnès s'affolent, la première se rhabille rapidement, pendant que la seconde plie rapidement la grenouillère.

  • Viiiiiiiite Agnès c'est mon patron !

Chris entre dans sa chambre alors que Valérie n'a pas eu le temps d'enfiler son top. Elle se retrouve en minijupe et soutien gorges devant son patron. Bien qu’étonné par la situation, Chris en profite pour admirer la poitrine de Valérie avec envie.

  • Excusez-moi, dit Valérie d'un air gêné, mais j'avais très chaud en passant l'aspirateur et je me suis mise à l'aise.

  • Mais Valérie, vous avez bien fait... Vous me présentez à votre amie ?

  • Euh Oui... Bien sûr, Agnès une amie d'enfance.

  • Bonjour Agnès.

  • Bonjour Chris.

Valérie s'éloigne pour enfiler son top, mais Agnès l'en empêche en la retenant par le bras.

  • Voyons Valérie rien ne presse, dit son amie d'un air provocateur, je suis sûre que Chris à déjà vu une jeune femme en soutien-gorge. En plus il semble apprécier énormément ce qu'il voit.

Chris gêné par la situation, s'excuse et sort de la chambre embarrassé par la situation.

  • Comme c'est malin, tu veux me faire virer ?

  • Tu n'as pas à t'inquiéter pour ça, ton Chris meurt de te sauter, c'est évident. Il regardait tes seins comme si c'était des diamants. Tu as de la chance d'ailleurs, il est pas mal du tout.

  • Arrête, tu dis n'importe quoi. De toute façon je ne tente pas le coup, je ne veux pas perdre mon boulot.

  • Dommage, je suis certaine que si tu voulais tu pourrais faire ce que tu veux de lui. C'est le genre de type prêt à tout pour t'avoir. Comme tu refuses de me croire, je te parie que j'arriverais à lui faire faire tout ce que je veux qu'il fasse.

  • D'accord je te prends au mot. Que parions-nous ? demande Agnès.

  • Une semaine de soumission complète aux désirs de l'autre.

  • Pari tenu, dit Valérie, en topant dans la main de son amie.

Après s'être rhabillée les deux jeune femmes sortent de la chambre et retrouvent Chris dans la cuisine.

  • Au revoir Chris à la semaine prochaine.

  • Bye Valérie.

  • Bye bye Chris à bientôt, dit Agnès en fixant Chris d'un regard scrutateur rempli de sous-entendus.

Les deux jeunes femmes sortent de la cuisine et quittent l'appartement. Agnès qui sort la dernière prend soin de ne pas fermer la porte totalement. Arrivée en bas de l'immeuble elle s'arrête subitement sur le trottoir.

  • Mince alors, j'ai oublie mon sac !

  • Tu es vraiment tête en l'air, réplique Valérie. Va le chercher, je t'attends.

  • Ne m'attend pas, nous n'allons pas dans la même direction.

=== Chapitre 4 ===

Dans la rue les deux amies se font la bise, puis Valérie s'en va de son coté. Agnès la regarde s'éloigner en souriant, puis elle fait demi-tour, entre dans l'immeuble et remonte les étages. Arrivée devant la porte de l'appartement qu'elle a laissée entre-ouverte, elle la pousse tout doucement et entre à pas de louve.

Elle jette un œil dans la cuisine, Chris n'est pas là. Elle entend du bruit venant de la chambre et se dirige au son en marchant doucement. Arrivée devant la porte, elle regarde par la porte entrebâillée et reste stupéfaite de ce qu'elle découvre.

Chris est devant son lit, la grenouillère à la main. Il la plie pour la ranger dans une boîte en carton ouverte devant lui.

  • Merde, je suis sûr qu'elles ont vu cette grenouillère, dit Chris à voix haute en pensant être seul.

C'est à ce moment, qu’Agnès fait irruption dans la pièce. Chris surpris sursaute et lâche la grenouillère qui tombe sur le sol. Etonné du retour de la jeune fille dans son appartement.

  • Excusez-moi Chris, dit Agnès mais j'ai oublié mon sac. La porte était ouverte et je suis entrée pour le récupérer.

Chris affolé ne sait trop que répondre, ses yeux vont de la jeune fille à la grenouillère, et vice versa.

  • Ah le voilà près du lit, dit Agnès en se dirigeant vers son sac. Tout en se penchant au passage pour ramasser la grenouillère.

  • Vous avez laissé tomber votre grenouillère, dit-elle en lui tendant le vêtement tout en le regardant dans les yeux. Dites-moi si je fais erreur mais c'est bien la vôtre ?

Chris qui pensait garder longtemps son petit secret ne répond pas.

  • Mais ne soyez pas aussi émotif. Il n'y a aucune raison d'avoir honte de porter une grenouillère, même si à votre âge cela est plutôt surprenant.

  • Ce n'est pas à moi, dit Chris en rougissant.

  • Allons Chris ce n'est pas bien grave, réponds Agnès en le regardant avec un sourire.

  • Vous avez raison. C'est à moi, c'est un cadeau... un cadeau ridicule... Je ne la porte jamais.

  • Vraiment, dit Agnès en fronçant les sourcils, tout en lui prenant la grenouillère des mains. Pourtant elle est un peu élimée aux manches, reprend-elle après un moment. C'est tout de même surprenant pour un vêtement qui n'a jamais été porté.

Agnès se dirige vers le lit et ouvre la boîte en carton pour y déposer la grenouillère, soigneusement repliée. Un petite carte postale oubliée là attire son attention.

  • A mon bébé adoré, ta nounou d'amour, lit-elle à haute voix.

Alors mon bébé adoré de sa nounou d'amour, dit-elle en s'approchant de Chris. Il semble pourtant que cette personne savait ce qu'elle faisait en vous offrant ce cadeau. Chris honteux comme un môme surpris à faire des bêtises ne répond rien à Agnès, qui se moque gentiment de lui.

Un silence pesant s'installe dans la chambre, silence que la jeune fille met à profit.

  • En tout cas, pour un bébé tu es un plutôt bien avancé pour ton âge. Surtout quand je pense à la façon dont tu regardais Valérie tout à l'heure. Elle te plaît bien ma copine, hein ! Je suis sûre que moi aussi je te plais bien. Je me trompe mon bébé adoré ?

Agnès attrape Chris par la cravate et entreprend de lui enlever.

  • Oui c'est vrai avoue Chris, je le reconnais. Mais qu'y-a-t-il de mal à cela ? Vous êtes très jolies toutes les deux.

Agnès tire doucement sur la cravate et amène Chris à proximité de son visage

  • Je suis tout à fait d'accord avec toi. Et je pense que la lingerie de Valérie t'a beaucoup excité. Tu aimes la lingerie Chris ?

  • Oui beaucoup.

  • Ça ne m'étonne pas, et cette lingerie, elle te plait ? Demande Agnès qui laisse tomber sa robe au sol pour apparaître à Chris en guêpière de satin blanc, bas et jarretelles.

  • Je parie que tu adores la lingerie blanche, les bébés adorent le blanc.

Elle s'approche à nouveaux de Chris. Elle défait la ceinture de son pantalon, baisse ce dernier, puis descend son slip et commence à le caresser délicatement en le regardant dans les yeux. Celui-ci veut tendre la main pour toucher Agnès, mais elle bloque son mouvement.

  • Chuuut. Doucement mon petit. Les bébés n'ont pas ce genre de geste, dit-elle en prenant complètement le sexe de Chris et en le caressant plus fort.

  • Laisse toi faire mon chérubin, je vais m'occuper de toi comme une véritable nounou. Tu aimes que je t'appelle bébé ? Es-tu prêt à être mon bébé ? Chris répond oui dans un gémissement sans vraiment comprendre ce que Agnès à voulu lui dire.

  • Ça t'excite que je t'appelle ainsi, hein mon bébé, poursuit Agnès qui entraîne Chris vers le lit en le tirant par son sexe tendu. Elle le pousse sur le lit et le déshabille complètement, tout en poursuivant ses caresses . Une fois Chris nu, elle se glisse entre ses jambes, pose ses lèvres sur son sexe et le suce doucement.

  • Tu aimes ?

  • Oui, réponds Chris en haletant sous la caresse buccale.

  • Tu veux que je continue ?

  • Oh oui ! J'en meurs d'envie.

  • Feras-tu tout ce que je désire pour mériter ce plaisir ?

  • Oui, tout ce que tu voudras.

  • Alors ne bouges pas et ferme les yeux.

Je te préviens que je m'en vais immédiatement, si tu bouges ou si tu regardes.

Agnès se relève doucement toujours vêtue de sa lingerie. Elle ouvre son sac, en sort deux paires de menottes et un foulard noir. Elle s'approche de la tête de Chris, qui ne bouge toujours pas, et lui bande les yeux. Puis elle attache les menottes à la tête de lit avant de refermer les extrémités sur les poignets de Chris. Ce dernier surpris de la tournure des évènements, réagis en tentant de se débattre. Mais il est trop tard, menotté au lit il est entièrement à la disposition de Agnès.

  • Voilà une bonne chose de faite, dit Agnès. Alors mon cher Chris, ou dois-je t'appeler bébé Chris ? On est le bébé de sa nounou ? Comment s'appelle donc cette charmante personne qui t'a offert cette jolie grenouillère ?

Honteux de s'être laissé surprendre aussi bêtement, Chris boude et ne répond pas.

  • Pas de réponse ? C'est bien dommage. Ainsi tu aimes jouer au bébé ? Poursuit-elle avec un regard moqueur.

  • Ça suffit! Détache-moi tout de suite.

  • Les bébés, ne parle pas comme ça, dit-elle en le giflant à toute volée. Et puisque que tu réagis comme cela, tu resteras attaché, poursuit-elle en enlevant sa culotte pour l'en bâillonner.

Comme ça tu ne pourras plus crier comme tu viens de le faire ! Maintenant reste tranquille, je vais visiter ton appartement et voir si je trouve ce que je cherche, dit-elle en sortant de la chambre. Et sois sage, lui recommande-t-elle en tirant la porte derrière elle.

Agnès visite l'appartement toujours vêtue de sa guêpière blanche et ses bas. Elle rentre dans une pièce qui semble être un bureau.

Elle voit un ordinateur, qu'elle l'allume. Le bureau apparaît, Agnès fait une recherche rapide en tapant le mot "couches". Une fenêtre s'ouvre avec une multitude de fichiers. Elle clique sur le premier et là elle voit une photo d'une jeune fille à quatre pattes, montrant son postérieur garni d'une grosse couche. Elle en ouvre un autre fichier et découvre un homme attaché sur un lit en train d'être langé. Dans un autre, on voit une jeune femme debout sur la pointe des pieds les mains attachées au-dessus de sa tête, une grosse couche recouvre ses fesses.

C'est bien ce qu'il me semblait, pense Agnès. Ce Chris est un gros cochon qui fait encore dans ses couches. Tant mieux, je sens que je vais vivre une expérience intéressante. En ayant assez vu sur le sujet, elle éteint l'ordinateur et retourne près de Chris.

  • J'ai cherché partout et je n'ai pas trouvé tes couches, dit-elle en enlevant la culotte de la bouche de Chris. Où sont-elles ?

  • Détache-moi, hurle Chris en guise de réponse. Agnès le regarde posément avant de le gifler à nouveau.

  • Tu ne bougeras pas d'ici tant que tu ne m'auras pas dit ou tu caches tes couches. Ensuite je t'ai déjà dit d'arrêter de crier, gronde-t-elle entre ses dents.

  • Mais... Je n'ai pas de couche c'est idiot ! Et puis j'ai envie de pisser alors détache-moi.

  • Ah oui, et comment expliques-tu l'origine des images que j'ai trouvé sur ton ordinateur ? On voit de jolies jeunes femmes en couches et même des hommes.

  • Et alors ? Ça ne te regarde ?

  • Bon ! Je vais continuer à les chercher. Je vais même prendre tout mon temps pour le faire. Comme tu as envie d'aller aux toilettes, on verra bien si tu es ou pas un bébé. Et si tu sais ou pas te retenir, dit-elle en rebâilonnant Chris de la culotte, qui est passablement trempée de mouille et de salive.

Agnès fouille l'appartement pendant un moment. Elle s'arrête et réfléchit à quelque chose un instant. Elle rejoins Chris dans sa chambre, se rhabille devant lui en prenant des poses suggestives, qui ne manquent pas de provoquer des réactions bien visibles sur son prisonnier.

  • J'ai une course à faire, je t'emprunte de l'argent pour payer et je reviens. Sois bien sage mon bébé, nounou ne sera pas très longue. Dit-elle en récupérant les clés de l'appartement puis en quittant celui-ci, en éteignant la lumière.

Chris abandonné dans l'obscurité de sa chambre tire dans tous les sens pour essayer de se libérer avant le retour de la jeune fille. Il abandonne la lutte en sueur, sans avoir pu gagner un peu de liberté de mouvement.

=== Chapitre 5 ===

  • Bonjour, dit Agnès en franchissant la porte de la pharmacie.

  • Bonjour mademoiselle, que désirez- vous ?

  • Voilà, j'ai besoin de couches pour un adulte, mais je ne sais pas lesquelles acheter.

  • D'accord. Qu'elle taille fait-elle ?

  • Je ne sais pas, je dirais quarante-deux à vue de nez.

  • Il s'agit d'un homme ou d'une femme ?

  • D'un homme, mais peut être le connaissez-vous ? Il habite dans l'immeuble en face. Il est peut être client chez vous ?

  • Il habite en face me dites-vous. Hé bien il se fait que j'habite dans cet immeuble moi aussi. Vous connaissez son nom de famille ou l'étage où il habite ? Je le connais peut être. À défaut, je pourrais peut-être deviner de qui il s'agit.

Tiens tiens, quelle heureuse coïncidence m'a conduite à entrer ici, pense Agnès devenue subitement silencieuse devant la vendeuse. Quelque chose me dit qu'elle doit connaître Chris, dragueur comme il est, je suis certaine qu'il n'a pas manqué de tenter sa chance auprès de cette fille. Je vais en profiter pour lui rabattre son caquet.

  • Oui il habite au cinquième, son prénom est Chris, reprend-elle à haute voix.

  • Vous parlez de Chris ! Le locataire de l'appartement avec la grande terrasse ?

  • Oui c'est bien de lui que je vous parle, vous le connaissez ?

  • Disons que nous nous croisons dans l'escalier et que ce n'est pas de gaieté de coeur, répond-elle avec une tonalité dure et sans équivoque au sujet de Chris.

Au ton de la vendeuse, Agnès devine qu'elle ne le porte pas dans son cœur.

  • Vous n'avez pas l'air de l'apprécier, compatit Agnès. Rassurez-vous, moi non plus.

  • Ah bon vous aussi ? Et si nous revenions aux couches de ce Don Juan ?

Cette phrase innocemment lâchée, rapproche joie les deux femmes qui se mettent à rire dans l'officine.

  • Je pense qu'il va faire un beau don Juan.

  • Surtout avec les couches que je vais vous donner pour lui. Comme je ne connais pas sa taille je vais vous donner des échantillons, nous verrons par la suite. Essayez ceci, Il s'agit du change complet le plus épais. Mouille-t-il beaucoup ses couches ?

  • Je ne sais pas mais il vaut mieux prévoir, pour éviter les fuites.

  • Vous avez raison, prévenir c'est guérir. C'est aussi s'épargner de la lessive inutile. Je vais vous donner des échantillons de couches droites à ajouter dans le change. Le problème est que cela ne sera pas très discret.

  • Tant mieux, moins c'est discret et mieux c'est. Dans cette tenue il fera certainement moins le malin.

  • Nous avons aussi des culottes en plastique fermées ou à pressions. C'est une sécurité contre les fuites, dit-elle en montrant deux modèles différents dans leur emballage.

  • Montrez-moi cela, dit-elle à la vendeuse qui s'empresse de présenter et comparer les deux articles.

  • Alors qu'en pensez-vous ?

  • C'est un excellent produit complémentaire aux couches, c'est tellement agréable de dormir dans un lit propre. Malheureusement je n'ai pas pris assez d'argent à Chris. Je vous propose de faire comme ceci. Je vais prendre les échantillons, les lui faire essayer et reviendrais vous voir pour acheter des couches à sa taille et ces merveilleuses culottes qui vont avec. - C'est une excellente idée. Mesurez-lui son tour de taille et de hanche. Parfois les hanches ne passent pas malgré le bon tour de taille. Ça doit serrer pour empêcher les fuites sans marquer.

  • Merci pour vos bons conseils, je n'oublierai pas. Au revoir. - Au revoir mademoiselle, à très bientôt. Lui répond la commerçante avec un sourire radieux.

Agnès sort de la pharmacie, toute guillerette. En peu de temps elle s'est fait une alliée dans le quartier. Et qu'elle alliée ! Une pharmacienne qui déteste Chris aussi fort qu'elle.

=== Chapitre 6 ===

  • Mais c'est notre charmante pharmacienne ! S’exclame Agnès heureuse de la revoir.

  • Ah c'est vous ! Appelez-moi Caroline, c'est plus sympa que la pharmacienne.

  • D'accord caroline, moi c'est Agnès.

  • Alors ces couches ? Vous vous en êtes sortie ?

  • Oui sans problème. Je passerais demain pour vous en acheter, ainsi que des culottes plastiques.

  • D'accord. Essayez de passer vers dix-neuf heures nous serons plus tranquilles pour discuter. Excusez mon indiscrétion mais la maladie du voisin du dessus, c'est grave ? Ne rechigne-t-il pas trop à porter des couches comme un bébé ?

  • Non il n'a rien de grave ne vous inquiétez pas pour lui. Rien n'est jamais trop bébé pour Chris. Sur ces mots Agnès s'engage dans les escaliers en saluant Caroline qui la salue à son tour.

Caroline ouvre la porte et rentre dans son appartement. Perplexe, elle se demande ce que Agnès a bien voulu dire par... rien n'est jamais trop bébé pour Chris.

=== Chapitre 7 ===

Le lendemain matin, huit heures.

Agnès arrive à l'appartement de Chris; Elle ouvre la porte avec les clés qu'elle avait prises la veille. Elle traverse celui-ci jusque dans la chambre de Chris. Ce dernier dort à poing fermé. Agnès s'approche de lui, son regard est tout de suite attiré par les couches gonflées de Chris. Elle le secoue sans ménagement.

  • Debout mon bébé, il est l'heure de se lever.

Chris sursaute et se réveille brutalement.

  • Oh là doucement. On va d'abord vérifier si Monsieur est un vrai Monsieur ou encore un bébé. dit Agnès qui se place entre les jambes de Chris, elle pose la main sur son entre-jambes, et presse fortement la couche de son prisonnier en le regardant dédaigneusement.

  • Mais c'est qu'on a mouillé sa couche, et pas qu'un peu en plus, dit Agnès. Tu es vraiment un sale pisseur.

Agnès arrache les collants qui retiennent la couche et l'ouvre.

  • Je vais te détacher, mais tu me promets d'être un gentil bébé. Tu iras prendre ta douche puis tu me rejoindras dans la cuisine pour le petit-déjeuner. Tu verras, j'ai tout prévu. Et n'oublie pas les photos dans l'éventualité où tu voudrais te rebeller. Chris bande fortement depuis l'arrivée d’Agnès, celle-ci s'en aperçoit.

  • Oh mais c'est que bébé est excité, dommage que je sois pressée. Mais comme tu as été un bon bébé, je vais te récompenser. Agnès rabat la couche sur le sexe de Chris, puis le sert fortement et le branle vigoureusement. Chris se tend et à gémit sous les caresses de Agnès qui ne quitte pas Chris des yeux.

  • Et bien tu ne peux pas dire que cela ne te plaît pas. Je suis sûr que c'est à causes des couches. Aller laisse-toi aller. Chris fini par gicler dans sa couche qu’Agnès maintient contre son ventre. Sitôt terminer, elle lui rend sa liberté de mouvement.

  • À la douche mon bébé ! Chris se lève, file à la salle de bain et prend sa douche. Quand il en ressort, une serviette de bain autour des reins, il voit sur le lit un change complet propre et ouvert, et l'un de ses costumes. Agnès l'attend. Chris comprends immédiatement ce qui l'attend et tente de se rebeller.

  • Mais tu es folle ! Il n'est pas question que je porte ça au boulot.

Agnès s'approche de lui et le tire pour le placer dos au lit.

  • N'oublie pas les photos, mon bébé. Sois sage autrement ... dit Agnès en le poussant sur le lit. Chris tombe en arrière et se retrouve allongé, sur le change complet.

  • Comme ça tu es bien mis, ne bouge pas. Regarde ce que j'ai pour toi.

Agnès sort de son sac un flacon de lait de toilette et des lingettes de bébé. Elle verse du lait sur une serviette et en enduit le sexe de Chris qui se dresse immédiatement.

  • Et bien dis donc tu es un drôle de bébé. Mais cette fois, tu resteras comme ça, dit Agnès qui termine de le langer. Voilà tu es bien protégé, tu peux te lever.

Chris se lève et fait mine de s'habiller.

  • Non mon bébé le petit-déjeuner d'abord.

  • Dans cette tenue ?

  • Oui dans cette tenue.

  • Mais on pourrait me voir par la fenêtre de la cuisine.

  • Mais non, et après tout qu'est-ce-que ça fait ? Tu es un bébé et un bébé, ça porte des couches. Mais je baisserai le store pour te faire plaisir.

Agnès accompagne Chris et l'installe dans la cuisine. Sur la table un biberon fumant rempli de lait miellé l'attend.

  • Je pense que tu sais ce que tu dois faire. Tu bois ce biberon comme un grand et seulement après tu pourras t'habiller, lui di-elle en baissant le store pour éviter le regard des voisins.

Chris obéit d'un air résigné, il s'assied et tète son biberon.

Tout d'un coup un flash éclaire la pièce, c'est Agnès qui vient de photographie Chris tétant son lait.

  • Génial, c'est exactement la photo que je voulais.

  • Pourquoi ? Demande-t-il

  • Tu es superbe avec juste ta couche et ton biberon à la bouche.

Sur cette photo, on voit très bien les deux. Et surtout que tu le fais de toi-même, sans que personne ne t'y oblige. Avec cette photo, tu ne pourras jamais prétendre que tu ne joues pas au bébé en privé.

Chris se lève d'un bond en colère.

  • Calme-toi mon bébé, n'oublie pas les photos d'hier, dit Agnès en reculant.

Chris s'arrête, réfléchit quelques instants et se rassied.

  • Voilà qui est mieux. Je te préviens que tu seras puni à la prochaine rébellion de ta part, je passe pour cette fois-ci. Ne me force pas à montrer cette photo, tu le regretterais.

=== Chapitre 8 ===

Comme chaque matin Chris prends le métro pour aller au bureau. Cette fois accompagné d'Agnès qui marche à ses cotés il paraît inquiet. Ils descendent dans le métro et prennent le même wagon qui est pratiquement désert. Agnès qui est devant s'assied dans un box de quatre places, où deux jeunes femmes sont déjà assises côté fenêtre. Agnès s'assied et invite Chris à s'asseoir face à elle.

  • Assieds-toi là mon bébé, lui dit elle à haute voix.

Ce qui ne manque pas de faire sourire l'une des jeunes femmes.

  • Allons ne fais pas cette tête-là, sourit un peu. Il n'y a vraiment pas de quoi être en colère.

  • Va te faire voir, lui répond Chris d'un ton sec.

A ces mots les deux voisines arrêtent leur conversation et regardent Agnès, qui n'apprécie pas du tout la réaction de Chris.

  • Pourquoi es-tu en colère ? C'est à cause de tes couches ? Lui demande Agnès sur une voix douce, mais assez élevée pour être entendu par les deux jeunes femmes.

Chris la regarde, stupéfait de la voir étaler avec tranquillité un aspect de sa vie privée. Les voisines se regardent d'un air surpris, puis échangent un regard discret en pouffant derrière leur main.

  • Pourquoi me regardes-tu comme ça ? Tu ne veux pas que je te parle de tes couches ? Poursuit Agnès d'un air innocent et toujours à haute voix. Les deux voisines regardent tour à tour les personnes qui composent ce couple singulier.

  • Tu es gêné parce que ces charmantes jeunes filles pourraient imaginer que tu portes des couches ? Reprend Agnès à l'intention de Chris qui la trouve de plus en plus mauvaise.

N'obtenant pas de réponse de son infortuné compagnon, Agnès se tourne vers sa voisine de droite et entreprend de l'éclairer un peu plus sur le sujet de la conversation.

  • Hé oui mademoiselle, ce grand bonhomme porte encore des couches. Voyez-vous c'est un grand bébé qui mouille encore toujours ses pantalons.

A ces mots Chris se lève et se poste face à la porte du wagon prêt à descendre. Les trois filles le suivent du regard, pendant que Agnès, s'adresse toujours à ses voisines qui n'ont plus du tout envie de rire des infortunes de Chris.

  • Hé oui mesdemoiselles, observez bien ses fesses et vous devinerez l'épaisseur de ses couches.

  • Mademoiselle, pourquoi vous moquez-vous d'une personne malade ? Et que vous à-t-elle fait pour que vous la traitiez aussi durement ? Enchaîne sa voisine de droite.

  • Mais il n'est pas malade ! C'est un grand gaillard en bonne santé qui adore jouer au bébé, et qui porte continuellement des couches-culottes. Vous savez ce n'est pas très amusant pour moi, mais quand on aime... Enfin, vous me comprenez, dit Agnès en se levant tout en finissant sa phrase.

  • Au revoir mesdemoiselles. Peut-être nous reverrons nous ? En tout cas Chris prend toujours cette ligne de métro. Si l'envie vous tente de connaître un grand bébé dans l'intimité, n'hésitez pas, dit-elle avec un sourire candide à l'attention des deux filles.

Agnès se dirige vers Chris. Le métro s'arrête et ils descendent cote à cote. La rame à peine repartie Chris, furieux, essaye de parler mais Agnès le coupe et prend la parole avec vivacité.

  • Que cela te serve de leçon mon petit. Dorénavant tu feras attention au ton que tu emploies pour me parler. Tiens prend ce sac, il contient une couche de rechange. Et surtout... N'enlève pas ta couche dans la journée, car je le saurais et tu sais ce qui t'attend. Au revoir Chris chéri, bonne journée.

Agnès tourne les talons, sans attendre la réponse de Chris, et s'éloigne. Pendant que Chris reste figé comme une statue regardant fixement le sac plastique suspendu au bout de ses doigts contenant la seule couche de sa journée de travail.

=== Chapitre 9 ===

Il est neuf heures quand Chris arrive au travail. Il passe la grande entrée de la tour ou se trouve ses bureaux. De nombreuses personnes entrent et sortent. Chris est inquiet et essaye par tous les moyens de cacher ses fesses de crainte que ses couches ne se remarquent. Il court aux toilettes du rez-de-chaussée, s'enferme dans un box, retire ses couches qu'il dissimule dans son sac plastique et enfourne le tout dans sa mallette. Il ressort l'air détendu et soulagé. Enfin rassuré, il attend l'ascenseur en compagnie d'autres personnes. Les portes s'ouvrent, Chris s'y engouffre sans prêter attention aux personnes présentent dans la cabine. Entouré de personne dans le petit espace clos Chris sent un main lui caresser les fesses d'un geste rapide. Surpris par ce geste déplacé dans cette endroit, il se retourne pour découvrir l'auteur de ce geste et se statufie devant le visage d'Agnès qui le regarde avec détachement.

  • A lire la surprise sur ton visage, je pense que ne t'attendais pas à ça, dit-elle à voix basse. Tout en passant sa main entre les jambes de Chris, faisant sursauter ce dernier. On va redescendre, vilain garnement et aller au café en face.

  • C'est hors de question, murmure sourdement Chris.

  • Tu penses vraiment avoir le choix bébé Chris ? Fait ce que je te demande où sinon...

  • Sinon quoi ? Réplique Chris à voix basse avec agressivité. J'en ai plus qu'assez de ton petit jeu. Continue de la sorte et je vais porter plainte contre toi.

  • Ça alors mais c'est Chris ? S'exclame Agnès avec étonnement. Et tes problèmes de santé, enfin fini ? Lui demande-t-elle avec compassions. Tous les regards sont tournés vers Chris qui regarde Agnès ébahi de son audace.

  • Alors mon chéri, reprend Agnès à voix basse, tu veux que je donne des précisions à cette belle assemblée ?

L'ascenseur s'arrête, les portent s'ouvrent, Chris se rue dehors, suivi d'Agnès qui ne le lâche pas. Ils se retrouvent seuls face aux ascenseurs. Souveraine, celle-ci appuie sur le bouton d'appel de l'ascenseur pour redescendre.

  • Tu as toujours tes couches aux fesses, j'espère?

  • Oui ! Bien sûr que vas-tu imaginer là ?

  • Menteur ! je t'ai suivi jusqu'ici, je t'ai vu aller aux toilettes. Tu crois que je n'ai pas compris ce que tu faisais, garnement.

Joignant le geste à la parole Agnès plaque sa main sur le pantalon de Chris au niveau du sexe, confondant Christ à son mensonge.

  • Décide-toi avant que l'ascenseur arrive. Sauf si tu veux que je fasse un scandale en criant que tu portes des couches sur ton lieu de travail.

  • D'accord, d'accord, on va faire comme tu veux.

  • On va redescendre au rez-de-chaussée et aller au café qui se trouve en face de ton entreprise. Là on mettra les choses au point entre-nous, une fois pour toutes. Saisi la chance que je t'offre, il n'y en aura pas de seconde si tu me désobéis une seconde fois.

=== Chapitre 10 ===

Il faut peu de temps à Agnès pour rejoindre le café et y entrer en guidant Chris devant elle comme ont conduit un enfant qui à désobéi. Elle regarde autour d'elle, puis choisit un box un éloigné des autres consommateurs. Agnès s'assied la première.

  • Pose tes fesses ici dit-elle en désignant à Chris la place à côté d'elle, sur la banquette.

Chris s'assied pendant que le serveur s'approche pour prendre la commande.

  • Un café pour moi et un lait fraise pour mon bébé, demande Agnès. Prenant Chris de vitesse, une fois de plus

  • Un lait fraise Madame ?

  • Oui, garçon, un lait fraise, dit-elle en se tournant vers Chris. N'es-ce pas mon bébé que tu veux boire un lait fraise !

Décontenancé, le serveur hésite puis part chercher la commande de cette étrange couple.

  • Alors tu prétends toujours avoir gardé ta couche sur toi, demande Agnès en regardant Chris dans les yeux.

Chris attends le retour du serveur, ignore la question et décide de ne pas répondre à Agnès.

  • Très bien on va voir ça, dit Agnès en le bousculant un peu. File aux toilettes, referme la porte sans mettre le verrou et attends moi. Et va dans les toilettes des femmes, c'est plus calme.

  • Mais tu es folle !

  • N'oublie pas les photos mon petit Chris, maintenant magne-toi de m'obéir mon bébé, sauf si tu veux que je raconte que tu portes des couches aux fesses et que tu te pisses dessus par plaisir.

Résigné, Chris se lève et se dirige vers les toilettes qui sont au sous-sol. Il entre dans les toilettes pour femmes en priant que personne ne se trouve devant les lavabos. Heureusement, il n'y a personne. Il pousse la porte d'une toilettes, y entre et attend Agnès. En suppliant le ciel qu'aucune femme n'entrera et ne poussera la porte qui le cache aux regards.

Les minutes s'écoulent. Pour Chris chacune d'elles durent une heure. Puis il entend du bruit, quelqu'un rentre. Tous d'un coup la porte s'ouvre en grand. Heureusement pour Chris, c'est Agnès qui s'empresse d'entrer et de tirer la porte derrière elle en mettant le verrou.

  • Enlève ton pantalon et donne-le-moi, ordonne Agnès à Chris qui se retrouve les fesses à l'air dans l'espace réduit.

  • Tu ne respecte pas notre marché Chris, reprends la jeune fille. Tu tiens vraiment à ce que tout le monde sache que tu portes des couches à ton âge ?

  • Où as-tu mis tes couches, ainsi que celle que je t'ai donnée ce matin ?

  • Dans ma mallette.

  • Où est ta mallette ?

  • A l'étage, sous la table.

  • Reste ici, je vais la chercher.

Agnès ouvre la porte et sort précipitamment. Sitôt celle-ci sortie Chris ferme la porte à clé et va pour remettre son pantalon. C'est alors qu'il réalise que Agnès la emporté avec elle. En un instant Chris comprend qu'il est tout nu, et enfermé dans les toilettes d'une brasserie avec l'impossibilité de sortir. Il attend un long moment qui lui paraît une éternité et toujours pas de nouvelles d'Agnès. La panique l'emportant sur la raison il se met à douter du retour d’Agnès et se voit abandonner dans la situation où il se trouve. Il l'imagine tellement fort que la sueur commence à perler sur son visage.

Soudain des voix se font entendre, il s'agit de deux consommatrices qui viennent d'entrer. Elles semblent se connaître car elles discutent ensemble. Tout d'un coup la poignée de la porte tourne en insistant. Puis une voix se fait entendre.

  • Tiens ! Il y a quelqu'un. Utilise l'autre Sophie, je vais attendre que la personne sorte.

Les minutes passent, Chris tétanisé par la peur ne bouge plus. La personne de l'autre côté de la porte commence sérieusement à s'impatienter en frappant la porte du plat de la main.

  • Madame, vous en avez encore pour longtemps ?

En proie à une panique sans nom Chris ne répond pas et s'efforce de ramener ses pieds sur le rebord de la cuvette.

  • C'est pas croyable. C'est à croire qu'elle s'est endormie en faisant. On entend une chasse d'eau puis une porte s'ouvrir.

  • Ah Sophie, enfin ! Viiiiiiiite ! Dit cette dernière en s'engouffrant dans la toilette libérée. Quelques secondes plus tard un bruit d'eau se fait entendre ponctué d'un soupir de soulagement.

  • La personne n'est toujours pas sortie ? Demande Sophie au travers de la porte.

  • Non pas encore je me demande s'il ne lui est pas arrivé un accident.

Terrorisé Chris entend quelqu'un qui entre à nouveau dans la pièce, et est soulagé en reconnaissant la voix d'Agnès.

  • Bonjour et excusez- moi mesdames, dit Agnès en mettant la main sur la porte derrière laquelle Chris est terré.

  • Prenez l'autre, il y déjà quelqu'un madame, et cette personne semble vouloir prendre son temps.

  • Oui et je sais qui sait. En fait cette personne m'attend.

  • Elle vous attend ? Demande Sophie incrédule ... Ici ?

  • Oui c'est un ami qui a de légers problèmes et qui attendait mon retour.

  • La toilette est occupée par votre ami... qui a des problèmes ... dans les toilettes des femmes, reprend Sophie de plus en plus décontenancée par la situation.

  • Oui, reprend Agnès, un ami incontinent sans couche propre pour se changer. Alors, je lui ai demandé de m'attendre ici le temps que j'aille en chercher une propre chez lui et que je lui rapporte. Agnès sort le change complet du sac plastique, qu'elle avait donné à Chris, et le glisse sous la porte et sous le nez des deux jeunes femmes qui n'en reviennent toujours pas.

  • Évidemment, dans ce cas je comprends pourquoi il ne répondait pas, commente Sophie. La prochaine fois ce serai préférable qu'il aille dans les toilettes des hommes. Ça nous évitera de devoir nous presser pour aller à la toilette.

Les deux jeunes femmes quittent la pièce laissant Agnès et Chris maître des lieux.

  • Ouvre Chris, je suis seule.

Chris pousse le verrou trop heureux de voir le visage d'Agnès.

  • Voilà, je suis de retour. Avoue que tu as eu peur que je ne revienne pas. Chris se tait et baisse la tête comme un gosse pris en faute.

  • Si tu ne m'avais pas menti, reprends Agnès, j'aurais pris tes couches au premier voyage et tu n'aurais pas eu à attendre dans cette endroit et cette tenue. Maintenant abaisse le battant de la toilette et assieds-toi dessus que je te lange.

Chris obéi pendant qu'Agnès déplie le change complet et s'apprête à le glisser sous les fesses de Chris.

  • Humm, mais c'est que j'ai envie de faire pipi, dit Agnès. Tiens-moi ça, dit-elle en mettant le change dans les mains de Chris.

Elle soulève sa jupe et baisse sa jolie culotte blanche en dentelle, sous le regard allumé de Chris.

  • Ça t'excite, hein mon bébé. Mais cela se mérite. Agnès reprend la couche des mains de Chris , l'ouvre et le place entre ses jambes.

  • Fait voir tes mains ! Maintenant attrape ce lange et tiens le bien entre mes jambes. Et débrouille-toi pour que cela ne goutte pas à côté. Je vais pisser dans ta couche avant de te la remettre pour la journée.

Agnès se laisse aller et inonde la couche-culotte que Chris présente comme une offrande au sexe d'Agnès.

  • Hooooo mais que ça fait du bien. Lèche-moi ! Ta langue servira de papier toilette pour essuyer ma chatte que tu aimes tant.

Agnès passe sa main derrière la tête de Chris, la plaquant contre son sexe mouillé d'urine. Chris lèche le sexe d'Agnès qui pousse de petits gémissements de satisfaction. Satisfaite, elle repousse violemment Chris en arrière, et remonte doucement sa culotte sans quitter du regard, Chris en pleine érection.

  • À ton tour, dit-elle en reprenant le change mouillé des mains de Chris. soulève tes fesses, mon bébé.

Agnès glisse la couche humide sous les fesses de Chris, puis appuie sur son ventre pour le forcer à s'asseoir et écraser de tout son poids cette couche remplie de son champagne intime. Elle attrape le devant de la couche et va pour la rabattre sur le ventre de Chris. Lorsque qu'elle constate que ce dernier affiche une érection digne d'une offrande aux déesses de l'amour.

  • Mais c'est que tout cela te plaît, tu ne peux prétendre le contraire, dit Agnès qui prends le sexe le Chris entre ses doigts. Elle le serre fortement et commence à lui imprimer un mouvement très rapide de haut en bas.

  • Tu as deux minutes pour gicler, après c'est tant pis pour toi. Ce délai est largement suffisant pour faire jouir Chris dont l'excitation est à son comble. Agnès sentant qu'il va exploser, attrape le devant de la couche qu'elle rabat sur le sexe de Chris.

  • Voilà, c'est bien, tu as bien mouillé ta couche. Décidément tu es un vrai bébé.

Chris peine à reprendre à peine ses esprits, pendant que Agnès ferme rapidement et fermement la couche de Chris.

  • Maintenant rhabille-toi, lui ordonne Agnès en sortant de la toilette.

Chris encore étourdit remet son pantalon par-dessus sa couche, puis quitte les toilettes. Il remonte les escaliers et se dirige vers la table où Agnès l'attend.

  • Maintenant bois ton lait, lui ordonne Agnès sans se soucier de la clientèle qui dévisage cet étrange couple. Ensuite tu files au boulot et surtout ne retires pas ta couche, sinon...

Agnès se lève et part. Chris assoiffé par les évènements et la peur qu'il a connue, vide son verre à petites gorgées. Puis il ramasse sa mallette et se dirige vers la sortie. C'est à ce moment là, qu'il voit Agnès en discussion avec deux jeunes femmes. Malheureusement il est obligé de passe à côté d'elles pour sortir. Au moment où il va dépasser la table, Agnès l'arrête en l'attrapant par le bras.

  • Chris je te présente Sophie et Claudine. Sophie et Claudine je vous présente Chris. C'est lui qui occupait les toilettes pour dames.

  • Alors les couches c'est lui ? Demande Claudine ?

  • Oui c'est lui. Chris est encore un gros bébé qui porte des couches nuit et jour.

Les explications fournies par Agnès font rosirent de gêne les deux jeunes femmes qui se referment derrière des sourires pincés.

  • Ne soyez pas gênée pour lui mesdames, il ne porte pas des couches parce qu'il est malade, mais parce qu'il adore ça.

Agnès ponctue ses dires en donnant une grande tape sur les fesses de Chris. En plus ça lui évite d'avoir trop mal quand je lui mets la fessée.

Sur ses paroles Agnès et Chris quittent les deux femmes pantoises dans la brasserie et se retrouvent sur le trottoir.

  • Bon, voilà une bonne chose de faite. Je te laisse retourner au boulot et surtout garde ta couche toute la journée. J'espère que tu as compris que je peux débarquer à tout moment pour vérifier que tu m'obéis même et surtout pendant mon absence.

Chris ne répond pas, il se contente de prendre l'attitude d'un enfant que l'on gronde sans savoir pourquoi.

  • As-tu compris ce que je viens de te dire ? Lui demande Agnès excédée par son mutisme.

  • Oui Agnès, j'ai compris. - Bien ! Alors au revoir. Je t'appellerai dans la journée.

=== Chapitre 11 ===

  • Tout va bien Chris ? Lui demande la secrétaire du service.

  • Oui tout va bien, je vous remercie.

  • Vous êtes sûr ? Vous ne semblez pas à votre aise. Il est midi et vous n'êtes pas sorti de votre bureau de toute la matinée.

  • Si, si tout va bien, répond Chris à la secrétaire de plus en plus soupçonneuse.

  • Voilà qui me rassure, j'avais cru... Au fait, quelqu'un a téléphoné tout à l'heure, mais vous étiez déjà en ligne. Cette personne a laissé un message que je n'ai pas compris, mais elle m'a certifié que vous comprendriez.

  • Qui était cette personne ?

  • Je l'ignore, elle n'a pas laissé son nom. Elle voulait savoir s'il y avait des fuites.

  • Comment ça des fuites ? Demande Chris qui commence à deviner qui le nom de la messagère. La personne qui a téléphoné était un homme ou une femme ?

  • Une femme. Ah si Elle m'a dit qu'elle représentait la société D.I.A.P.E.R.

En entendant l'appellation D.I.A.P.E.R., Chris comprend immédiatement de qui il s'agit.

  • Ah oui je me souviens. C'est vrai ... C'est parce que... j'ai eu un dégât des eaux chez moi. C'est certainement mon voisin qui a appelé cette entreprise pour faire les réparations. Répond-il en bégayant laborieusement son mensonge.

  • Elle a ajouté qu'elle serait chez vous à dix-sept heures, ajoute la secrétaire professionnelle jusqu'au bout dans la restitution de son message.

  • Ah bon, bien d'accord. Mais je ne pourrais être au rendez-vous, Si cette personne rappelait annulez le rendez-vous.

  • D'accord, réponds la secrétaire en faisant demi-tour pour sortir du bureau. Prise d'une soudaine illumination elle se retourne vers Chris : Je viens de penser à quelque chose de drôle.

  • Ah oui et quoi donc ?

  • Si l'on prononce le nom de cette société d'une seule traite cela donne DIAPER, c'est plutôt drôle pour une entreprise de plomberie qui répare des fuites.

  • Qu'y a-t-il de drôle à cela ? Je ne comprends pas.

  • Mais... Diaper cela veut dire couche en anglais. Mais couche dans le sens couche pour bébé ... couche-culotte si vous préférez, termine la secrétaire en quittant le bureau avec un petit sourire en coin.

Chris alarmé par la sortie de la secrétaire se demande si celle-ci a remarqué qu'il portait des couches.

  • Ah oui, c'est drôle en effet, dit-il en se forçant à sourire. Seul dans son bureau Chris se laisse aller à une réflexion qui se teinte rapidement de morosité.

  • C'est pas possible, mais jusqu'où va-t-elle aller ? Et moi qui voulais enlever cet accoutrement ridicule, je ferai bien d'attendre un peu. Bon je vais aller déjeuner au restaurant, cela m'évitera de croiser les collègues.

=== Chapitre 12 ===

Chris quitte son bureau discrètement. Ne souhaitant rencontrer personne il se dirige d’un pas rapide vers les ascenseurs, espérant ainsi gagner discrètement le restaurant à proximité de l’entreprise. Lorsqu’une voix se fait entendre.

  • Chris ! Chris ! Chriiiiiiiis !

Il se retourne et voit alors Joëlle. Joëlle est la responsable du département marketing. C’est une très jolie femme d’un mètre septante, aux longs cheveux bruns.

Elle est toujours tirée à quatre épingles dans des tenues assez classiques, venant des meilleurs magasins de la ville. Il y a quelques temps Chris a eu une aventure avec elle, sans lendemain, et depuis une certaine complicité professionnelle les unis plus intimement.

Chris sait que Joëlle aimerait bien entretenir une relation un peu plus poussée avec lui. Mais il préfère éviter ce genre de situation sur les lieux de travail.

Chris n’a pas oublié que Joëlle est aussi exigeante et élégante avec ses robes, ses tailleurs, qu'avec ses dessous. Ayant déjà eue l'occasion de les admirer. Malgré son désir de fuir le plus vite possible à cause de ses couches, il ne peut s'empêcher de se demander ce qu'elle peut bien porter sous sa jupe droite et son chemisier de soie.

  • Alors Chris, le gronde Joëlle, tu te caches de moi ?

  • Salut Joëlle, j'étais très occupé ce matin et je n’ai pas vu le temps filer.

  • J'ai remarqué, tu n'es même pas venu prendre le café ce matin - Oui je sais, excuse-moi. Dit-il en se tenant à bonne distance de sa collègue pour que celle-ci ne voie pas le rembourrage provoqué par la couche dans son pantalon.

  • Non je ne t'excuse pas, dit Joëlle en s’approchant de lui. Et en plus tu ne me fais plus la bise ?

  • Mais si, mais si, se défend ce dernier en s’approchant pour l'embrasser sur la joue.

  • Tu viens prendre un café dans mon bureau ? Il faut que je te montre quelque chose.

  • D'accord, mais en vitesse, j’allais au resto quand tu m’as appelé.

Chris et Joëlle entrent dans le bureau cette dernière. Chris prend soin d’entrer derrière-elle afin que le regard de sa collègue ne se pose sur ses fesses bien garnies.

  • Assieds-toi Chris.

  • Merci Joëlle.

En femme maîtresse de la situation, Joëlle ferme la porte de son bureau à clé. Puis, prépare un café expresso pour son invité.

  • Un seul sucre comme d'habitude ?

  • oui Joëlle, merci.

  • Regarde ce que je me suis achetée ce matin, lui dit-elle, en prenant possession d’un sac de papier. Dont elle retire plusieurs pièces de tissus qui se révèlent être de la lingerie.

  • Regarde cette culotte ! N’est-elle pas superbe ? Je l'ai achetée avec le soutien gorge assorti… Toi qui aime la lingerie, tu as bien un avis à me donner.

Elle se lève et lui tend une culotte Aubade de couleur Fuchsia finement ornée de dentelle.

  • Alors tu en penses quoi ? Lui demande-t-elle en le regardant avec insistance.

  • Franchement… elle est superbe !

  • Tu sais j'ai même pris le porte-jarretelle qui va avec, dit-elle en le sortant du sac pour lui tendre à bout de bras sous le nez de Chris.

  • Tu seras superbe dans cette tenue, je t'imagine très bien

  • Inutile d'imaginer. Il te suffit de regarder.

Joëlle ouvre la fermeture éclair de sa jupe qui tombe au sol, pour lui dévoiler sa petite culotte.

  • Regarde ! C’est le même modèle, mais en blanc. Chris, au comble de l’excitation, sent sa couche gonfler par son sexe tendu qui cherche un chemin pour se libérer de sa prison d’ouate. Joëlle est devant lui en chemisier largement décolleté laissant voir voir la naissance des seins, culotte, bas et porte-jarretelle. Ne pouvant lui révéler qu’il porte une couche, Chris la regarde impassible.

  • C’est dommage que tu ne puisses pas en profiter pour un principe aussi idiot que celui d'éviter le sexe dans le travail, ne peut-elle s’empêcher de maugréer.

Joëlle se baisse, offrant ainsi la totalité de ses fesses au regard de Chris, et ramasse sa jupe et l'enfile autour de ses cuisses galbées, cachant ainsi sa lingerie tentatrice.

  • La récré est finie, lui dit-elle déçue par la froideur de son collègue de bureau. Qu’attends-tu pour partir, je croyais que tu étais pressé ?

  • Je te remercie pour ce spectacle magnifique Joëlle, mais il faut vraiment que je me sauve.

Chris s'approche de Joëlle, lui fait une bise et se retourne en direction de la porte.

  • Salut Chris d'amour, lui dit Joëlle en accompagnant ses paroles d'une tape sur les fesses de Chris.

Chris surpris par ce geste, inaccoutumé de la part de sa collègue de travail, pense immédiatement à ses couches. Il se retourne vers Joëlle qui affiche un regard étonné. Celle-ci n'a pas réalisé que Chris est langé comme un bébé. Etonnée, de la sensation, elle reste figée dans l’impression de l’instant. Cherchant dans sa mémoire à quoi peut bien correspondre cette impression de connu, de déjà senti. Chris, en pleine panique, profite de ce battement silencieux pour sortir du bureau sur un ciao presque murmuré.

=== Chapitre 13 ===

Chris entre dans un restaurant. La peur au ventre que ses fesses rembourrées ne soient remarquées par les autres clients, lui font choisir une table un peu à l'écart, face à la salle et dos au mur.

La serveuse s'approche. Plutôt jolie, elle doit avoir dans les vingt-cinq ans. Chris, comme à chaque fois qu'il vient déjeuner dans ce restaurant, ne peut s'empêcher de regarder sa poitrine bien moulée dans un petit top en lycra, laissant apparaître un nombril tentateur au-dessus de la ceinture de son Jean.

  • Bonjour, lui dit la serveuse en lui tendant la carte que Chris prend d’une main.

  • Ce sera comme d'habitude, le vin en guise d'apéritif ?

  • Euh... Non merci. Aujourd’hui je vais prendre un bourbon.

  • Un bourbon? Et bien … Vous avez eu des émotions ce matin ? Lui demande familièrement la serveuse.

  • Oui effectivement. Et j'ai besoin de me remettre.

Nantie de la commande la serveuse fait demi-tour et s'éloigne. Chris en profite pour regarder ses hanches qui se balancent harmonieusement dans ce jean qui souligne si bien ses formes appétissantes.

Légère comme un papillon, une main se pose sur son épaule, et le visage d’Agnès se matérialise à son regard. Son esprit était tellement occupé à mater le derrière rebondi de la serveuse, qu’il n’a pas vu la jeune fille entrer dans le restaurant et se diriger vers sa table.

  • Salut Chris, lance-t-elle avec nonchalance.

  • Mais qu'est-ce que tu fais là ?

  • C'est l'heure de déjeuner, non ? Alors je me suis dit que tu te ferais un plaisir de m'inviter. Je t'ai vu entrer dans ce restaurant et j’ai répondue à ton invitation muette. C’est vraiment gentil à toi, dit Agnès en s’asseyant à coté de lui.

  • Euh… C'est-à-dire que, bredouille lamentablement Chris, déconcerté par l’aplomb de la jeune fille.

  • Dis-moi mon petit. C'est la serveuse qui te trouble ainsi ou c’est la joie de me revoir ? Lui demande–t-elle d’un regard moqueur.

  • Ecoute Agnès, ça ne peut plus durer. Tu as l'intention de me harceler comme cela encore longtemps ?

  • Ton agressivité à mon égard me dit que ce sont les fesses de la serveuse qui te troublent et que je suis la cause de ta mauvaise humeur. Ce n'est pas très gentil pour moi, dit Agnès s'asseyant à côté de Chris.

  • Arrête de jouer Agnès et répond à ma question

Agnès va pour répondre, quand elle est interrompue par le retour de la serveuse.

  • Bonjour madame, vous désirez déjeuner ? Demande-t-elle en posant le bourbon devant Chris.

  • Non madame va part... commence Chris immédiatement interrompu par Agnès qui dialogue avec la serveuse.

  • Oui mademoiselle, Chris ma si gentiment invitée que je n’ai pas osé refuser. Mais... c'est de l'alcool que je vois là, dit-elle en montrant du doigt le verre de bourbon de Chris. Voyons Chris, comment as-tu pu oublier que tu ne dois jamais boire.

Agnès prend le verre de Chris d’autorité et le pose devant elle.

  • Mais depuis quand... ? Bafouille ce dernier en proie à une colère qu’il maitrise à grand peine.

  • Voyons Chris tu sais bien que cela te monte à la tête et que à chaque fois tu as un accident, réplique Agnès sur un ton acide.

Au mot accident Chris se fige, immédiatement mis en alerte. Il comprend l'allusion à ses couches et craint qu’Agnès en profite pour le ridiculiser.

  • Apportez-lui un jus d’orange mademoiselle, je prendrai le bourbon.

  • Un jus d'orange ? Demande la serveuse ahurie par la commande.

  • Oui Mademoiselle un jus d'orange ! Ça à l'air de vous surprendre. Vous n’avez plus de jus d’orange ?

  • Euh… si bien sûr, répond la serveuse décontenancée par la tournure des évènements.

  • Vous savez, mademoiselle, l'alcool n'est pas recommandé pour un grand bébé comme Chris. N’est-ce pas mon bébé que ce n'est pas bon pour toi, ajoute-t-elle en lui caressant la joue de paume de la main.

La serveuse reste un instant muette de surprise devant la scène qui se déroule devant ses yeux, puis elle se retourne et lance à voix haute en direction du comptoir ;

  • Un jus d'orange pour le bébé de madame. Un !

  • Oh ! Oh ! Elle n'a vraiment pas l'air de me porter dans son cœur, dit Agnès dès que la serveuse s'est éloignée. Est-ce que cette charmante personne ne serait pas un peu amoureuse de toi, par hasard.

  • Ne dit pas de bêtise, tu veux !

  • Je suis sûr de ce que j'avance. Et certaine qu'elle n'attend que l'occasion pour finir dans ton lit. Mais peut être es-ce déjà fait ?

  • Voyons Agnès mais je la connais à peine !

  • Ça me rassure un peu, mais avoue que tu ne dirais pas non si l'occasion se présentait. Elle te plaît bien hein ? J'ai remarqué comment tu la déshabillais du regard quand je suis arrivée. Et bien mon grand bébé, car n'oublie pas que tu es un bébé, dit Agnès en glissant sa main dans le dos de Chris, pour attraper le haut de la couche de Chris et la tirer vers le haut d’un petit coup sec.

  • Ce n'est pas la peine d'espérer quoi que ce soit sans ma permission, enchaîne-t-elle. Maintenant c'est moi qui décide avec qui tu couches ou ne couche pas.

Chris se tourne face à Agnès l'obligeant à lâcher sa couche. Il ouvre la bouche pour parler. Plus rapide que lui, Agnès en profite pour entrer son majeur dans la bouche et lui écraser la langue du bout de l’ongle, le privant momentanément de la parole

  • Chuttttt, laisse-moi finir mon petit. Tu sembles avoir oublié nos accords. A partir d'aujourd'hui tu fais tout ce que je veux et uniquement ce que je veux. C'est valable pour tes couches mais aussi pour tout ce qui touche à ta vie privée et tes relations intimes. Donc quand je te dis de coucher avec quelqu'un, tu le fais. Et quand je ne veux pas tu ne le fais pas. Dommage pour toi mais c'est comme ça et pas autrement. Sauf si tu souhaites que je fasse découvrir à la planète via Internet l’adorable bébé que tu es. Je suis certaine que tu ferais un buzz. Alors que décides-tu ?

Vaincu une fois de plus, Chris baisse la tête et reste sans répondre. Agnès renforce son avantage en se penchant vers lui pour lui parler à voix basse. - Imagine un peu sa réaction si elle venait à apprendre que tu portes encore des couches à ton âge. Hum… Qu’en penses-tu mon petit ?

  • Evidemment ! Mais il y a fort peu de chance pour qu'elle te croit. Dans le doute, tu passerais illico pour une cinglée. Ce que, tout à fait entre-nous, tu dois être.

  • Imagine qu'elle caresse tes charmantes fesses ou passe sa main sur ton petit robinet de petit pisseur, qu'elle serait sa réaction en sentant l'épaisseur de tes couches ? Demande Agnès en plaquant sa main sur la braguette de Chris. Ou mieux imagine-toi en train de te déshabiller en sa présence. Comment feras-tu pour lui cacher cet énorme paquet qui te sert de slip ? Lui demande-t-elle en accentuant la pression de sa main sur la couche. Oseras-tu lui dire que tu adores porter des couches et que tu rêves d'être langé toutes les nuits, comme un bébé par sa maman. Au fait rassure-moi sur un point. Tu aimes les couches hein ! Sinon, comment expliques-tu la grenouillère et les photos sur ton ordinateur ? Réponds-moi où j’élève la voix.

  • Tu dis n'importe quoi, Agnès.

  • Ah ! Vraiment ! Alors peux-tu m'expliquer ce je sens sous mes doigts. Je ne pense pas que ce soit ta couche qui gonfle comme cela, à moins que tu ne sois en train de faire pipi dedans. Tu as fait pipi dedans ? demande-t-elle en malaxant du bout des doigts la couche de Chris

  • Vous avez choisi votre menu madame ? Demande la serveuse en apportant le verre de jus d’orange de Chris.

  • Non pas encore, mademoiselle. Mais ne partez pas je vous dis cela tout de suite, dit Agnès en ouvrant la carte de sa main libre pendant que son autre main reste, immobile et pesante sur le devant de la couche de Chris.

  • Alors pour Chris, ce sera des frites et un steak haché. Et pour moi…

  • Mais madame, il s'agit du menu enfant.

  • Oui mademoiselle, je sais ! Mettez-lui une portion plus grosse pour qu’il soit rassasié. Du moment que nous payons, cela ne doit vous poser aucun problème.

  • Non madame, en effet il n’y a pas de problème.

  • Et pour moi ce sera… voyons un peu… Un magret de canard.

  • Et comme boisson ? Un peu de vin pour vous madame ? Je n’en propose pas à monsieur. J'ai cru comprendre qu'à son âge on ne boit pas d'alcool, ajoute-t-elle en regardant Chris.

  • Je vois que vous comprenez vite mademoiselle, lui dit-elle avec un sourire. Apportez-lui une eau de Badoit. Ce sera tout, merci mademoiselle.

La serveuse s'éloigne sous les regards faussement désintéressés des deux convives.

  • Elle est vraiment jolie cette serveuse, lâche Agnès subitement transportée sur la planète éros. Mais quel châssis ! Et ses seins, deux beaux fruits charnus qui bougent doucement et que j’aimerai caresser, triturer, titiller, embrasser jusqu’au bout de la nuit. Je l’imagine, épilée, tendre, parfumée, sinueuse. Enchanteresse du même bal qui rythme toutes les nuits amoureuses. Comme j’aimerai fondre dans ses bras et me confondre dans son corps jusque l’aube naissante. Boire à la source de la vie, la source de sa vie, de ses désirs quand les siens se confondent avec les miens. Mourir, naître, renaître et me repaître de ces charmes jusque plus soif. Dériver des jours et des lunes dans ses draps froissés, inondés de la liqueur de l’amour. Je t’envie beaucoup Chris, elle est sublime.

Les déplacements de la serveuse, inconsciente d’être dans la ligne de mire des deux convives, provoquent un transe érotique, que la jeune fille rompt au bout d’un long moment.

  • Excuse-moi pour cette envolée charnelle. Si tu veux invite-là chez toi, nous ferons ça à trois. Je suis certaine que comme tous les mecs tu dois fantasmer sur une partie à trois ? Evidemment il y a tes couches, mais je n'aurais qu'à la prévenir avant. Et puis non, dit-elle en réfléchissant un court instant, Je lui ferai la surprise quand je baisserai doucement ton pantalon sous ses yeux ébahis. Tu crois que ça l'excitera de te voir avec tes grosses couches de bébé ? Demande-t-elle à Chris qui reste de plus en plus silencieux.

  • Tu ne réponds pas ? Tu boudes Chris ? Au fait, tu ne m'as pas répondue tout à l'heure. As-tu mouillé tes couches ?

  • Non !

  • Alors c'est d'imaginer cette charmante jeune fille en train de caresser tes couches qui te fait bander ? C'est ça que je sens ? Tu bandes au son du mot couche ! S’exclame Agnès qui retire sa main d'un geste brusque. Tu crois qu'elle a remarqué que je te caressais sous la table ?

Chris se lève brusquement, décidé à reprendre un peu de liberté.

  • Tu vas où comme ça ? Lui demande la jeune fille en le retenant par le bras.

  • Aux toilettes ! Répond-il à Agnès qui le tire par le bras et l'oblige à se rasseoir.

  • Tu reste ici, lui murmure-t-elle. Tu as des couches c'est fait pour t'en servir.

  • Mais ma parole, tu es dingue !

Agnès plaque une nouvelle fois sa main sur la braguette de Chris. Ses doigts qui semblent chercher quelque chose, attrape le zip de sa braguette et fait coulisser ce dernier doucement vers le bas. Puis ils cherchent leur chemin avant de se coller sur le plastique tendu de la couche de Chris.

  • Vas-y, maintenant ! Ordonne Agnès d'un air autoritaire, en fixant Chris droit dans les yeux.

  • Ça ne va pas dans ta tête ! réplique Chris qui n'ose pas bouger de peur que tous les clients ne remarquent quelque chose.

  • N'oublie pas nos accords, sois tu te laisses aller dans ta couche. Soit je te ridiculise devant tout le monde. Et tu sais que je le ferais, ici personne ne me connaît. Tandis que toi... Décide-toi !

Chris reste silencieux. Son esprit tourne à plein régime dans l'espoir de trouver une parade pour échapper à cette nouvelle humiliation. - Qu'attends-tu ? Tu as trois secondes pour obéir. Et ne fait pas semblant. Tu vas te laisser aller en douceur pour que je sente la douce chaleur de ta pisse mes doigts . Ce qui confirmera que tu n’es qu'un sale petit pisseur. Pisse Chris !

Ils sont toujours en pleine conversation houleuse quand la serveuse revient et pose les plats en les annonçant.

  • Le steak haché et les frites pour le... petit. Le magret de canard pour madame. Bon appétit.

  • J’attends Chris ! Merci mademoiselle.

Chris ne souhaite qu'une chose, que la serveuse s'éloigne, mais Agnès en a décidé autrement et entame la conversation.

  • Excusez-moi mademoiselle, mais il me semble vous connaître.

  • Je ne crois pas madame. J’ai la mémoire des visages et je vous aurais reconnue dès que vous êtes entrée dans le restaurant. Le vôtre ne me dit rien, sauf aujourd’hui bien entendu.

  • Qu'est-ce que tu attends ? Demande Agnès en ne sentant rien venir sous ses doigts.

  • Ne le pressez pas madame, c'est très chaud.

  • Ah bon ? Pourtant… il me semble vous avoir croisée à la pharmacie. Vous ne vous en souvenez peut-être pas. J'achetais des couches pour… Agnès n'a pas le temps de finir sa phrase qu'elle sent sous sa main une chaleur prouvant que Chris est en train de mouiller sa couche. Ce dernier a compris qu’Agnès va révéler à la serveuse que les couches étaient pour lui. - Finalement, je pense que vous avez raison, j’ai du vous confondre avec une autre personne, excusez-moi mademoiselle.

  • Ce n'est rien madame, répond la serveuse en s’éloignant. Laissant les deux convives à leur repas.

  • Voilà, tu vois ce n'est pas difficile à faire. Comment te sens-tu ? Demande la jeune fille avec un petit sourire. Au chaud j'imagine, dit-elle en pouffant. Mange avant que ça ne refroidisse.

Le reste du repas se déroule en silence. Chris paye l'addition et s'apprête à partir.

  • On se voit ce soir ! Lui lance Agnès très sûre d’elle.

  • Ce soir c’est impossible.

  • Tu ne m’as pas compris Chris. Ce n’est pas une question, c’est une affirmation. Je t'attendrai à dix-sept heures, l’heure de sortie des bureaux. Tu as intérêt à avoir la couche mouillée sur toi. Ce sera la première chose que je vérifierai. N’oublie pas les photos, si l’envie te prenait de me poser un lapin.

Chris ne répond rien, le dos tourné à Agnès il se dirige vers la porte pour sortir du restaurant.

  • Hé Chris !

  • Quoi encore ? Réplique-il en faisant une volte face brusque vers la voix haïe qui l’appelle.

Agnès se lève et le rejoint en quelques enjambées. Elle s’arrête face à lui et tend le bras, la main paume vers le ciel.

  • Donne-moi tes clés s’il te plaît.

  • Mais pourquoi faire ?

  • Donne-les moi sans discuter. J'en ferai un double cet après-midi et te le rendrai ce soir.

Chris fouille dans ses poches, puis tend un trousseau de clés à Agnès. Qui s'en empare et les fourre dans son sac. Elle embrasse Chris en lui murmurant à l’oreille.

  • Le trousseau de clés vient de me confirmer la certitude que tout ceci te plaît. Mais surtout porter des couches… Ne t’inquiète pas mon petit, ce n’est qu’un début. Maman n’abandonnera pas son bébé.

Agnès a franchi la porte du restaurant, laissant Chris ahuri du culot de la jeune fille. Tout en s’inquiétant déjà de ce que l’avenir lui réserve.

dlab

Très amusant récit ! Dommage qu'il n'y ait pas la suite ;) Merci pour votre plume !
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